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Un groupe sanguin a le moins de risques de développer un cancer d’après des chercheurs

Les groupes A, B et AB : potentiellement plus exposés, mais pas condamnés

Si vous êtes de groupe A, B ou AB, pas d’inquiétude excessive : ce n’est pas une fatalité. Ces groupes présentent effectivement, selon certaines études, un risque accru de développer certains cancers, notamment gastriques ou pancréatiques. Mais ces données doivent être interprétées avec prudence.

Il est essentiel de rappeler que le groupe sanguin n’est qu’un facteur parmi tant d’autres : alimentation, hygiène de vie, environnement, antécédents familiaux… tous jouent un rôle plus déterminant encore dans la prévention des maladies.

Le Dr Sanjay Aggarwal, spécialiste en soins holistiques, précise d’ailleurs que ces corrélations pourraient être liées à des différences dans la réponse immunitaire à certaines infections, plus qu’à un « destin biologique » programmé.

Ce que vous pouvez faire dès maintenant

Connaître votre groupe sanguin, c’est un peu comme connaître votre carte d’identité biologique. Et au-delà de l’aspect médical pur, cela peut vous aider à personnaliser vos choix de prévention santé :

  • Faites-vous dépister régulièrement, surtout si vous êtes dans un groupe à risque.
  • Adoptez une alimentation riche en fibres, en fruits et légumes, et pauvre en produits ultra-transformés.
  • Limitez l’alcool et le tabac, qui restent les principaux facteurs de risque de nombreux cancers.

Votre sang vous parle, écoutez-le

Votre groupe sanguin n’est pas seulement un code pour les hôpitaux, c’est aussi une clé de compréhension de votre santé. Même si la science n’a pas encore percé tous ses secrets, une chose est sûre : mieux vous connaître, c’est mieux vous protéger.

Alors, la prochaine fois que vous passez un examen médical ou croisez une collecte de sang dans votre ville, posez la question. « Ce petit détail pourrait faire une vraie différence. »

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