Une auditrice, infirmière, affirme que de nombreux professionnels de santé sont dans l’incapacité de déclarer des effets secondaires, faute de temps, de soutien, ou par peur de sanctions. Un médecin lui aurait confié : « On nous interdit de le dire. »
Face à cette accumulation, le Dr Henrion-Caude résume : « Les bases de données officielles recensent déjà les troubles cardiaques, neurologiques, auto-immuns, rénaux. Les autorités le savent. La question est : pourquoi ne le dit-on pas aux gens ? Pourquoi injecte-t-on encore des jeunes, alors même que le bénéfice n’est pas démontré ? »
L’émission se termine sans appel à la peur, sans slogans. Seulement une exigence : celle de la vérité, de la reconnaissance, et du droit à l’information.